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223 Saint Honoré

En partenariat avec Artpoint, le 223 Saint-Honoré vous offre l’expérience de l’art numérique. Découvrez chaque mois une nouvelle collection artistique et retrouvez ici les détails de l’exposition actuelle !

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Balkan Karışman

Balkan Karışman est un artiste multidisciplinaire né en 1993 à Istanbul qui travaille sur le scan 3D, la réalité augmentée, ainsi que sur les clips musicaux et l'animation. Il interroge la relation entre le présent et le futur à travers les concepts de temps et d'espace. En effet, il considère que la question de l’interaction ne se pose jamais qu’au présent. Selon lui, l’expérience d’un présent qui n’a jamais fini de nous échapper tant la vie n’est jamais figée, toujours dans un rapport ambivalent avec le passé et le futur, est amenée à se répéter en boucle et à jamais, à moins que l’espace et le temps dans lesquels nous sommes amenés à évoluer ne soient pas clos.

 

En 2017, il obtient son diplôme de l'Université technique du Moyen-Orient, département de design industriel. Peu de temps après, il commence ses études d'Interaction et de Game Design à l'Université Technique d'Istanbul. Puis il mène des recherches sur la visualisation numérique du traitement des données en temps réel. Ses recherches se sont traduites à l'origine comme une initiative de performances musicales live, ce qui explique qu’il ait été exposé au Oroza Music & Arts Festival et au Sonar Music & Technology Festival.

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Gentrification

La gentrification est un phénomène facteur de chaos. Ce processus fait référence à une forme de déplacement, non seulement des individus, mais aussi de l'histoire, de la culture et du capital social. Le point central de ce travail est l'étude de la relation entre l'esthétique du changement, ses implications, et l'observateur. 
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Gentrification II - vertical

La gentrification est un phénomène facteur de chaos. Ce processus fait référence à une forme de déplacement, non seulement des individus, mais aussi de l'histoire, de la culture et du capital social. Le point central de ce travail est l'étude de la relation entre l'esthétique du changement, ses implications, et l'observateur. 
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Elevations I

"Nous nous sommes élevés du sol. Nous nous sommes même élevés si haut que la connexion des uns aux autres n'a plus d'importance. Il s'agit juste pour nous prouver que nous pouvons nous élever jusqu'au ciel. Jusqu'à la lune. Plus personne ne connaît personne maintenant. Nous sommes tous anonymes."
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Anne-Laure Maison

Anne-Laure Maison est née en 1979 à Lyon, elle vit à Paris. Après un diplôme de designer d’espace aux Beaux-Arts de Toulouse, elle a travaillé en agence d’architecture (R&Sie, François Roche, 2002). Puis décide de se consacrer exclusivement à sa pratique artistique après sa résidence au Pavillon du Palais de Tokyo (2004-2005). Fascinée par la façon dont les Hommes vivent dans ce monde et profondément habitée par son propre nom de famille, tout son travail parle d’architecture, du rapport entre l’homme et le construit, de la façon dont il se l’approprie…


Sa série de collages “Femme-Maison”, questionne l’image de la femme contemporaine, forte, libre et autonome, capable de porter sa propre architecture… sa maison. Fières de ce qu’elles sont et revendiquant leur émancipation, ces allégories s’affichent sur les murs des villes qu’Anne-Laure traverse. Cette flâneuse nocturne déambule également dans nos villes et, indiscrète, y capture subrepticement les images de nos fenêtres éclairées. De ces vues prises au passage, au gré de ses errances nocturnes, elle se constitue un butin, un trésor, qu’elle recompose et remonte dans des compositions en mosaïque, où ces vignettes lumineuses sortent de l’ombre, imposent leur présence dans la série “Tableaux d’intimités”. Human Soul, projet mené en duo avec l’artiste/navigateur Michel Cam, montre la genèse d’une œuvre qui aspire à établir une résonance avec l’Autre. Ce projet questionne cette interpénétration entre les deux artistes et le monde, cette empreinte qu’ils laissent dans les paysages qu’ils arpentent et de ce lien qu’elle leur permet de tisser avec l’Autre. Human Soul est désormais une association artistique dont l’objectif est de sensibiliser les publics sur les différents états d’Être au monde, dé-stigmatiser la Différence, combattre l’exclusion, promouvoir l’Altérité et favoriser l’ouverture à l’Autre à travers des projets culturels. Ils sont actuellement en résidence à la Cité du refuge/ Armée du salut.

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Tableaux d'intimités II

Cette flâneuse nocturne déambule dans nos villes et, indiscrète, y capture subrepticement les images de nos fenêtres éclairées. Ouvrez les rideaux, nous crie-t-elle, laissez moi voir vos lumières, vos couleurs, votre chaleur domestique. Cela se nomme Tableau d’intimités. Peu de gens dans ses photos, pas de voyeurisme, mais une curiosité pour l’habitat, des architectures, des volets, des croisées, des chambranles, des meneaux, et derrière, des pièces peu distinctes, des étagères, des rayonnages, un rare écran de télévision. De ces vues prises au passage, au gré de ses errances nocturnes, elle se constitue un butin, un trésor, qu’elle recompose et remonte dans des compositions en mosaïque, où ces vignettes lumineuses sortent de l’ombre, imposent leur présence. La maison des autres, c’est son obsession, dit-elle; maison, c’est aussi son nom. Plus attirée par la trace urbaine de l’homme que par son visage, sa démarche flâneuse l’inscrit néanmoins dans la lignée de tous ces marcheurs, du priapisme de dessin de Saint-Aubin aux dérives de Guy Debord, avides de capter les images de la ville.

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Tableaux d'intimités III

Cette flâneuse nocturne déambule dans nos villes et, indiscrète, y capture subrepticement les images de nos fenêtres éclairées. Ouvrez les rideaux, nous crie-t-elle, laissez moi voir vos lumières, vos couleurs, votre chaleur domestique. Cela se nomme Tableau d’intimités. Peu de gens dans ses photos, pas de voyeurisme, mais une curiosité pour l’habitat, des architectures, des volets, des croisées, des chambranles, des meneaux, et derrière, des pièces peu distinctes, des étagères, des rayonnages, un rare écran de télévision. De ces vues prises au passage, au gré de ses errances nocturnes, elle se constitue un butin, un trésor, qu’elle recompose et remonte dans des compositions en mosaïque, où ces vignettes lumineuses sortent de l’ombre, imposent leur présence. La maison des autres, c’est son obsession, dit-elle; maison, c’est aussi son nom. Plus attirée par la trace urbaine de l’homme que par son visage, sa démarche flâneuse l’inscrit néanmoins dans la lignée de tous ces marcheurs, du priapisme de dessin de Saint-Aubin aux dérives de Guy Debord, avides de capter les images de la ville.

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Tableaux d'intimités I

Cette flâneuse nocturne déambule dans nos villes et, indiscrète, y capture subrepticement les images de nos fenêtres éclairées. Ouvrez les rideaux, nous crie-t-elle, laissez moi voir vos lumières, vos couleurs, votre chaleur domestique. Cela se nomme Tableau d’intimités. Peu de gens dans ses photos, pas de voyeurisme, mais une curiosité pour l’habitat, des architectures, des volets, des croisées, des chambranles, des meneaux, et derrière, des pièces peu distinctes, des étagères, des rayonnages, un rare écran de télévision. De ces vues prises au passage, au gré de ses errances nocturnes, elle se constitue un butin, un trésor, qu’elle recompose et remonte dans des compositions en mosaïque, où ces vignettes lumineuses sortent de l’ombre, imposent leur présence. La maison des autres, c’est son obsession, dit-elle; maison, c’est aussi son nom. Plus attirée par la trace urbaine de l’homme que par son visage, sa démarche flâneuse l’inscrit néanmoins dans la lignée de tous ces marcheurs, du priapisme de dessin de Saint-Aubin aux dérives de Guy Debord, avides de capter les images de la ville.

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Svccy

Svccy est un artiste numérique 2D et 3D dont la passion pour les arts visuels a débuté en 2016, lorsqu'il a commencé à créer des images sur Photoshop. Sa pratique s'inspire aujourd'hui principalement du mouvement Vaporwave, né et développé en ligne vers 2011/2012, qui se caractérise par l'utilisation de thèmes nostalgiques tels que les systèmes d'exploitation informatiques et les consoles de jeux vidéo des années 80 et 90, les bustes romains, les centres commerciaux abandonnés et les éléments de la culture japonaise, le tout assaisonné par l'utilisation de teintes violettes et roses. La réinterprétation particulière de Svccy de ce style tend vers une variante plus obscure et introspective. Son travail reflète la condition humaine dans la société actuelle, souvent représentée par des statues sans visage ou recouvertes, qui symbolisent le manque d'identité de l'individu, subjugué par la technologie et par une société ultra-consumériste.

Svccy a reçu de nombreux prix pour son travail, notamment le Work Culture Observatory Award au Connexion Festival de Rome, le gagnant de l'exposition solo Talent Varese, un finaliste du XIVe prix "Sergio Fedriani", un finaliste du Varese Design Week Talent Award, un finaliste de la première édition du concours artistique organisé par BVLGARI Accessories et COMONExT, et bien d'autres. L'artiste est représenté par la galerie Zanini Arte, avec laquelle il a exposé dans de nombreuses foires d'art. En 2023, Svccy a été exposé à W1 Curates à Oxford Street, Londres, dans son exposition "DYSTOPIAN CONSTRUCTIONS", qui explorait la diversité du spectre de la société contemporaine.

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Cliff House

La série Statue Houses fait entrer l'imagination dans de nouveaux espaces de vie humaine. Des designs glorieux du passé et des visions futuristes se rejoignent pour créer des architectures sinueuses où l'environnement onirique met en valeur les structures.

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The Cycle

Bien que l'homme s'approprie sans discernement le paysage naturel de manière violente, devenant l'esclave de lui-même et de sa volonté de domination, le cycle de vie de la nature est imparable et, malgré le fait qu'elle semble succomber aux cicatrices faites par l'homme, elle renaît à une nouvelle vie.

À propos de la série Living Structure

La série analyse la relation difficile entre l'homme et la nature, entre l'urbanisation débridée et la durabilité. Jusqu'où l'homme ira-t-il dans l'exploitation du sol ? Saura-t-il trouver une solution et sortir de ce cercle vicieux qui le conduit à l'autodestruction ? Ou bien disparaîtra-t-il pour laisser place à d'imposants squelettes gris abandonnés, témoins d'une civilisation tournée vers la consommation des ressources et qui n'a pas su préserver son patrimoine environnemental ?

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The Ascension

L'homme, dans son processus d'évolution, s'est éloigné de la nature, l'adaptant de plus en plus à ses besoins et pratiquant un processus de destruction et de pollution des sols. La route tracée jusqu'à présent risque de pointer vers un désastre écologique, avec le risque de se retrouver avec de pâles squelettes de béton vides, symbole d'une race égoïste qui n'a pas été capable de soutenir et de protéger le paysage dans lequel elle vivait.

À propos de la série Living Structure

La série analyse la relation difficile entre l'homme et la nature, entre l'urbanisation débridée et la durabilité. Jusqu'où l'homme ira-t-il dans l'exploitation du sol ? Saura-t-il trouver une solution et sortir de ce cercle vicieux qui le conduit à l'autodestruction ? Ou bien disparaîtra-t-il pour laisser place à d'imposants squelettes gris abandonnés, témoins d'une civilisation tournée vers la consommation des ressources et qui n'a pas su préserver son patrimoine environnemental ?